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EXPOSITIONS DES

SEMAINES PRÉCÉDENTES

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Semaine 11 ( 28 mai - 3 juin 2020)

L'humour

L’absurde, la satire, les caricatures. Ce sont toutes des formes qui peuvent nous venir en tête lorsqu’on évoque le thème de l’art et l’humour. En proposant cette thématique, nous nous sommes inspirés du travail de l’artiste Cynthia Girard-Renard et de la place de l’humour dans son travail, à travers l’utilisation de la couleur, de la personnification des animaux, des jeux de mots et des références aux dessins animés.

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Semaine 10 ( 21 - 27 mai 2020)

L'art et la spiritualité

Le spirituel, c’est, par définition, ce qui est de l'ordre de l'esprit, considéré comme distinct de la matière. Ou encore ce qui relève de l'âme, en tant qu'émanation d'un principe supérieur (notamment divin).

 Avez-vous déjà visité la salle du 3e étage des Îles réunies, notre exposition permanente? La juxtaposition de scènes religieuses et d’œuvres contemporaines finement choisies crée une atmosphère de calme qui incite à la réflexion et inspire le sacré.

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Semaine 9 ( 14 - 20 mai 2020)

L'art et la technologie

C’est en 2017 que les commissaires de l’exposition, Jean-François Bélisle et Anne-Marie St-Jean Aubre, ont invité le sculpteur anglais Mat Chivers en résidence de production au Québec, afin qu’il crée un nouveau corpus d’œuvres en dialogue avec le milieu de l’intelligence artificielle. Ce ne sont pas les prouesses technologiques qui font l’intérêt de Migrations, mais plutôt les enjeux plus larges qu’il soulève : comment les développements de l’intelligence artificielle affecteront-ils, de manière primaire, nos vies? Comment nous aident-ils à cerner et à nommer ce qui est le propre de l’être humain?

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Semaine 8 ( 7 - 13 mai 2020)

L'empathie

Nous avions choisi l’empathie comme thème parce que nous souhaitions rendre hommage au travail de l’artiste Adad Hannah qui implique très fréquemment des gens de différentes communautés dans ses projets. Alors que nous présentions son exposition Reflets et réflexions à l'automne 2017 (une expo qui est d'ailleurs toujours en circulation au Canada), l'artiste avait réalisé des tableaux vivants avec des réfugiés accueillis et accompagnés par le CRÉDIL. Ce projet avait été inclus dans l'exposition.

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Semaine 7 (30 avril - 6 mai 2020)

Revisiter les collections

Le père Corbeil souhaitait construire un musée qui serait une cathédrale vouée aux arts visuels au-delà des modes et des époques, une vision qui nous anime encore aujourd’hui. C’est ainsi que la plus grande portion de la collection du Musée d'art de Joliette s’inscrit dans le champ de l’art contemporain. Aujourd'hui, en invitant des artistes et des commissaires à interagir dans ses salles d’expositions permanentes ou même à travailler avec les œuvres en réserve, le Musée cherche à engager le dialogue sur son histoire et ses pratiques, dans un but d’ouverture. 

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Semaine 6 (23- 29 avril 2020)

Art et politique 

La question du territoire et de notre manière de se l’approprier - symboliquement et physiquement - était au centre des expositions principales présentées à l'été 2018 au Musée d’art de Joliette : Rayon de soleil au coin du feu de Kapwani Kiwanga et La forme d’Obus de Shannon Bool.  Ensemble, leurs expositions nous faisaient réfléchir aux multiples formes qu’ont pris et que prennent encore aujourd’hui les relations de pouvoir au cœur des processus de colonisation et de décolonisation entendus au sens large, et ce, à travers le temps. 

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Semaine 5 (16 - 22 avril 2020)

Identité nationale 

À l'hiver 2019, l'exposition de James Wilson Morrice (qui nous arrivait en provenance du Musée des beaux-arts du Canada) et l'exposition collective De tabac et de foin d'odeur. Là où sont nos rêves (produite en collaboration avec le Collectif de commissaires autochtones et commissariée par Guy Sioui Durand) ne s’intéressaient pas tant à la création d’une identité nationale qu’à une réflexion sur les discordances et la pluralité en tant qu’influences positives et riches au sein de l’art canadien.

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Semaine 4 (9 - 15 avril 2020)

Art et littérature

Les ponts entre l’art et la littérature sont nombreux. Souvent, la littérature inspire l’art. Et il n’est pas rare que l’art inspire la littérature. Il arrive aussi que l’art et la littérature se fondent l’un dans l’autre.  Le travail de Monique Régimbald-Zeiber, exposé actuellement au MAJ, combine de manière singulière littérature et peinture en traitant les mots en images et en abordant la composition picturale comme une syntaxe.

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Semaine 3 (2 - 8 avril 2020)

La force de la nature

Avec la modernité, l’être humain en est venu à se percevoir comme un acteur supérieur, indifférent aux cycles et aux phénomènes du monde naturel.  Les artistes canadiennes Jin-me Yoon et Christi Belcourt, dont nous présentions les expositions en 2019, font preuve d’humilité face à la nature. Cette attitude transparaît différemment dans leurs œuvres, qui sont envisagées comme des outils de sensibilisation, suggérant de nouvelles manières de vivre en relation avec la nature.

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Semaine 2 (26 mars - 1er avril 2020)

Art et science

La science et les arts peuvent sembler irréconciliables. Il en était autrement à une époque où le savoir était plus limité. Les deux expositions principales de la saison d’automne 2019 du Musée d’art de Joliette, celles de Patrick Coutu et de Marina Gadonneix, mettaient de l’avant la recherche scientifique en tant que sujet et stratégie artistiques. Elles s’intéressaient plus spécifiquement aux modèles scientifiques, physiques ou abstraits, représentant les phénomènes naturels.

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Semaine 1 (19 - 25 mars 2020)

Abstraction

Pour notre première semaine d’exposition virtuelle, nous nous sommes

inspirés des expositions qui sont actuellement en quarantaine au MAJ, celles de Monique Régimbald-Zeiber, celle de Maude Bernier Chabot, Brie Ruais et Elizabeth Zvonar et celle de Chloë Lum et Yannick Desranleau.

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